C’est alors qu’il la vit
Le pauvre sans-abri secoue son gobelet et, de temps en temps, un passant au hasard dépose quelques centimes. Ce n’était pas grand-chose, mais Martin ne se plaignait jamais et souriait toujours. Il était heureux de toute forme de gentillesse. C’est alors qu’il l’a vu. Le feu est passé au vert et une vieille dame a commencé à traverser…
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